Dr. Mevlüt Yazici est parodontologiste prothétique et esthétique, membre de l'Association Turque de Gnathologie et de Prothèses, membre de l'Association de Dentisterie Esthétique Ivoclar et chercheur avec une réputation académique en tant que conférencier à l'Université Marmara.
Dr. Yazici a obtenu son doctorat en parodontologie au Département de Prothèses et Dentisterie Esthétique, se spécialisant dans les avancées en couronnes en zirconium. Il a poursuivi ses recherches tout en enseignant de 2011 à 2017 à l'Université Marmara.
Avec plus de 10 ans d'expérience en tant que praticien médical, Dr. Mevlüt a opéré plus de 1000 patients en tant que parodontologiste maxillo-facial entre 2012 et 2020.
En 2020, Dr. Mevlüt a cofondé sa propre clinique de dentisterie esthétique et d'implantologie à travers laquelle il traite des patients étrangers de divers horizons avec Care in Turkey.
Bien sûr. Enchanté de vous rencontrer, je suis spécialiste en prosthodontie, diplômé en 2011 de l'Université Marmara avec un doctorat en couronnes en zirconium. Je pratique depuis plus de 10 ans et j'ai fondé ma propre clinique il y a 3 ans. Je me suis principalement concentré sur le tourisme dentaire avec une spécialisation pour les couronnes en zirconium.
Les couronnes en zirconium ont été inventées comme solution et nouvelle approche aux céramiques supportées par du métal. Le zirconium nous permet de donner un aspect plus naturel à nos couronnes, et elles sont extrêmement durables comme les métaux. Elles ont de nombreux avantages. Leur production est délicate, leur processus de travail intra-oral est sensible et compliqué, mais cela nous aide à obtenir des résultats beaucoup plus esthétiques que les couronnes en métal recouvertes de porcelaine. À l'heure actuelle, il est sûr de dire que les couronnes en zirconium sont le matériau le plus pratique et durable disponible.
Au lycée, j'étais sûr de vouloir être praticien médical. Il y a plusieurs raisons qui m'ont poussé vers la dentisterie. Je voulais me spécialiser en esthétique. Je voulais voir les résultats immédiats de mon travail. Pas comme en médecine interne, pas comme les spécialistes des infections. J'aime aussi travailler avec mes mains, au lieu de médicaments, j'aime la manipulation, comme un artiste. Je voulais aussi être plus libre, plus indépendant. En tant que médecin généraliste, je dois travailler dans un grand hôpital, être une petite partie d'un grand ensemble. Maintenant, j'ai ma propre clinique.
Ce que j'aime le plus… oh, je suis ému en ce moment (rires), j'aime montrer leur apparence dans le miroir à mes patients, montrer le résultat. C'est la meilleure partie, croyez-moi. La pire partie… eh bien, je dois trouver une réponse diplomatique (rires) ! Dans mes rêves, je veux tout être pour mon patient, mais c'est utopique, bien sûr. Je veux être le technicien, le médecin, le secrétaire, l'assistant.
C'était une mariée et un marié. Ils ont décidé de faire leur traitement esthétique juste une semaine avant le mariage. C'était stressant pour nous tous, toute la famille. 20 personnes ont assisté au traitement ! Ce qui signifie, questions x20, stress x20, nous n'avions pas de temps, les attentes étaient énormes, des couronnes et des facettes pour les deux. Donc bien sûr, j'ai été invité au mariage, mais je n'y suis pas allé. Nous avons terminé la dernière partie du traitement juste 24 heures avant la cérémonie. Je voyais tout le monde depuis une semaine entière, j'étais très stressé et je voulais me détendre !
Clairement, la numérisation va tout changer. Elle va améliorer la pratique et prendre en charge beaucoup de travail humain, surtout dans le laboratoire. Les humains sont encore nécessaires, mais dans 10-20 ans, probablement pas autant. Nous voulons que les humains contrôlent les machines et que les machines fassent la partie la plus délicate du travail. Cela nous aidera à obtenir des résultats plus réussis, plus rapides, et cela nous aidera à prévoir les résultats avec un minimum de changements grâce à une planification numérique améliorée. Permettez-moi d'insister encore une fois : surtout dans la partie laboratoire et fabrication, avec l'impression 3D de haute précision, les empreintes orales et dentaires, ce genre de choses.
Je n'ai pas le choix, je gère une clinique. Je crois que les médecins sont aussi responsables de la partie fabrication, un bon médecin ne peut pas dépendre du laboratoire. Les médecins doivent être ceux qui orchestrent les techniciens et obtiennent le meilleur produit. Si les médecins ne sont pas bien informés à ce sujet, ce seront les techniciens qui instruiront les médecins. Les patients ne veulent pas cela. Mon doctorat et mon expérience en tant que chercheur et conférencier ont été primordiaux pour en apprendre davantage sur la cuisine de la dentisterie.
Non, je suis célibataire, mais j'ai un chat et un chien (rires), ce sont mes enfants. Je n'ai pas beaucoup de temps libre pour sortir ou avoir des hobbies, honnêtement, c'est beaucoup de travail de gérer la clinique.
J'ai un très bon équilibre travail-travail (rires). Dans mon temps libre, j'essaie de faire du sport, je vais m'y remettre plus sérieusement. J'étais professionnel en karaté, kick-boxing et Muay Thai. Je vais commencer à m'entraîner pour le tournoi des vétérans de l'année prochaine en été. J'étais le champion en 2020. C'est un bon moyen de libérer le stress et de rester en forme et motivé.
Non, non, nous nous protégeons (rires). Je n'ai pas encore cassé de dents. J'ai disloqué la mâchoire d'un gars, mais il y avait un bon médecin autour, alors il l'a remise en place. Et… j'ai gagné le combat.
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